Jessica Muller le 04 février 2020 à 11:22
Il y a de nombreuses raisons de jouer au billard. Le plaisir en tête de liste. Mais qu'est-ce qui nous plaît dans le fait d'essayer de faire tourner la table sans donner à personne d'autre la chance de tirer ? Une partie du plaisir est l'incertitude de la concurrence : la chance de perdre. Si les coups sont bien joués et que vous avez de la chance, c'est une victoire. Si vous savez que vous allez gagner, le jeu n'est pas si amusant. La plupart d'entre nous veulent jouer contre quelqu'un qui est un peu mieux. "Peut-être que cette fois, je peux gagner." Le "peut-être" est ce qui rend le jeu amusant et nous ramène à chaque fois à la table.
Lorsque le prestige, la valeur personnelle d'un joueur, ou plus d'argent qu'un joueur peut gérer en perdant est le résultat d'un jeu, la joie de mettre l'habileté du joueur et la chance de la dame contre un adversaire peut être la source de ce que l'on appelle "l'anxiété compétitive". Des facteurs inconnus, à cause desquels le joueur perd le jeu, la suspicion que le joueur n'a pas les compétences nécessaires empêche le tir, se mettent en travers du chemin. Pour que votre tir soit plus précis, il est essentiel d’avoir des accessoires conformes : queues, billes, fût, chevaliers… en fonction de la version de jeu. SPORTIFUN, un comparatif en équipements sportifs est un bon guide pour trouver des meilleurs équipements sportifs.
Si vous vous concentrez trop, si vous faites trop d'efforts, votre main peut trembler, votre concentration fluctue et le tir régulier, qui a si bien fonctionné sur la table d'entraînement, devient agité. Lorsqu'un joueur s'étouffe pour la première fois, il éprouve un sentiment de peur. "Puis-je le contrôler ? Puis-je retrouver mon avantage ? Ce sera une catastrophe" ? Pour le reste du jeu, le joueur se bat contre lui-même, et non contre son adversaire